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Les actions ont été soutenues aujourd'hui par l'annonce d'un nouveau rapport sur l'inflation plus faible que prévu. Les rendements des bons du Trésor ont baissé car le ralentissement de l'inflation mesurée par les prix à la production a renforcé les arguments en faveur d'une réduction des taux d'intérêt par la Réserve fédérale cette année.
Les principales valeurs technologiques américaines viennent d'ouvrir en hausse, après avoir conservé leurs gains à la suite de la conférence de presse de M. Powell hier soir. Bien que le Dow Jones ait reculé après avoir clôturé à la baisse hier, les indices à forte composante technologique, comme le Nasdaq 100, ont encore gagné du terrain. Le S&P 500 était stable au moment de la rédaction de ce rapport, se maintenant à proximité d'un record atteint hier. Le secteur technologique reste donc le principal moteur de la performance des marchés ; sans lui, les marchés boursiers seraient sensiblement différents. La technologie faisant le gros du travail, on peut se demander jusqu'à quel point le secteur peut encore soutenir le marché. Le potentiel de correction existe, mais jusqu'à présent, les indices n'ont pas créé de modèle de sommet clair. Cela signifie que, pour l'instant du moins, acheter des baisses dans les indices à forte composante technologique reste une stratégie de trading plus judicieuse que d'essayer d'anticiper le sommet du marché, même si les inquiétudes concernant les valorisations augmentent de jour en jour, ce qui soulève des questions sur les prévisions du S&P 500.
Baisse de l'inflation selon l'IPP et hausse des demandes d'allocations chômage
Les actions ont été soutenues aujourd'hui par l'annonce d'un nouveau rapport sur l'inflation plus faible que prévu. Les rendements des bons du Trésor ont chuté alors que le ralentissement de l'inflation mesurée par les prix à la production a renforcé les arguments en faveur d'une réduction des taux d'intérêt par la Réserve fédérale cette année. L'indice PPI a connu sa plus forte baisse en sept mois, ce qui renforce les signes d'atténuation des pressions inflationnistes. Il a baissé de 0,2 % d'un mois sur l'autre, tandis que le taux de base est resté stable sur le mois, tous deux plus faibles que prévu.
En outre, les demandes initiales d'allocations de chômage aux États-Unis ont atteint le chiffre record de 242 000 en neuf mois, sous l'effet d'une augmentation significative en Californie. Le bond a été plus important que prévu, fournissant des preuves que le marché du travail pourrait s'affaiblir après que le chiffre principal des emplois non agricoles de vendredi ait suggéré le contraire.
La baisse des données de l'IPP aujourd'hui apporte un soulagement bienvenu, mais la lutte contre l'inflation se poursuit. À 3,4 %, l'inflation de l'IPC reste bien supérieure à l'objectif de la Fed, se maintenant au-dessus de 3 % pour le 38e mois consécutif, l'IPC supercœur (qui comprend l'inflation des services de base moins le logement) ayant augmenté de 5 % en glissement annuel en mai, son niveau le plus élevé depuis avril de l'année dernière. Le coût de la vie est donc extrêmement élevé, surtout si l'on considère que le prix médian des maisons aux États-Unis reste à un niveau record de 434 000 dollars et que la croissance du PIB a ralenti à 1,3 % au premier trimestre. En outre, aucun plan n'a été mis en place pour s'attaquer à la dette nationale de près de 35 billions de dollars et aux déficits croissants.
La Réserve fédérale a réduit ses prévisions de réduction des taux d'intérêt cette année, bien que le président Jerome Powell ait laissé la porte ouverte à d'autres réductions, soulignant que les nouvelles prévisions étaient conservatrices. Les projections économiques actualisées des décideurs indiquent désormais qu'ils ne prévoient d'abaisser les coûts d'emprunt qu'une seule fois en 2024, contre trois réductions précédemment prévues, selon leur estimation médiane. Malgré les données positives sur les prix à la consommation publiées hier, ils ont également revu à la hausse leurs prévisions d'inflation. Cette attitude prudente n'a toutefois pas dissuadé les opérateurs obligataires, qui ont continué à parier sur des baisses de taux.
Malgré le retard du Dow Jones, les prévisions du S&P restent positives, car il continue de défier la gravité. Une confirmation est nécessaire avant de pouvoir négocier l'indice à découvert, compte tenu de la solidité de la tendance haussière de cette année. Par exemple, l'indice devra casser un plus bas récent et se maintenir en dessous, comme le niveau de 5191. Avant cela, plusieurs niveaux de soutien pourraient se maintenir, notamment les niveaux 5376, 5326 et 5277, qui ont tous été des niveaux de soutien ou de résistance dans le passé. Le niveau 5326 est également proche de la moyenne mobile exponentielle de 21 jours, ce qui en fait un niveau clé.
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Source : TradingView.com
Cela fait bien plus de 300 jours de bourse que le S&P 500 n'a pas connu de baisse de 2 %, ce qui indique une forte absence de sentiment baissier. Tant que cette série n'est pas interrompue et qu'un plus bas ne signale pas un retournement baissier potentiel, ceux qui anticipent un repli devront rester patients, même si le marché semble surévalué. La tendance haussière doit montrer des signes d'affaiblissement avant qu'un renversement puisse se produire, et cela prend du temps. Cette année a été marquée par l'une des plus longues hausses jamais observées, le S&P 500 ayant atteint 27 nouveaux sommets historiques. Compte tenu de l'engouement pour les valeurs liées à l'intelligence artificielle et à la technologie, il est probable que de nouveaux sommets soient atteints.
Certains affirment que la vigueur du marché est renforcée par l'importance du déficit budgétaire, qui devra être comblé un jour ou l'autre. Toutefois, en tant que traders, nous devons respecter la dynamique du marché et éviter de prendre des décisions prématurées sans analyse approfondie, même si l'on ne s'attend plus à ce que la Fed réduise ses taux à trois reprises cette année.
Quelques entreprises technologiques ont vu leurs actions grimper à l'ouverture, notamment Tesla après qu'Elon Musk a annoncé que les actionnaires avaient voté à une écrasante majorité pour réapprouver son plan de rémunération et déplacer l'État d'incorporation de l'entreprise au Texas. Une autre entreprise technologique, Broadcom, qui est un fournisseur de puces pour Apple, a publié des résultats qui ont dépassé les estimations, grâce à la forte demande de produits d'intelligence artificielle.
Les principales valeurs technologiques américaines viennent d'ouvrir en hausse, après avoir conservé leurs gains à la suite de la conférence de presse de M. Powell hier soir. Bien que le Dow Jones ait reculé après avoir clôturé à la baisse hier, les indices à forte composante technologique, comme le Nasdaq 100, ont encore gagné du terrain. Le S&P 500 était stable au moment de la rédaction de ce rapport, se maintenant à proximité d'un record atteint hier. Le secteur technologique reste donc le principal moteur de la performance des marchés ; sans lui, les marchés boursiers seraient sensiblement différents. La technologie faisant le gros du travail, on peut se demander jusqu'à quel point le secteur peut encore soutenir le marché. Le potentiel de correction existe, mais jusqu'à présent, les indices n'ont pas créé de modèle de sommet clair. Cela signifie que, pour l'instant du moins, acheter des baisses dans les indices à forte composante technologique reste une stratégie de trading plus judicieuse que d'essayer d'anticiper le sommet du marché, même si les inquiétudes concernant les valorisations augmentent de jour en jour, ce qui soulève des questions sur les prévisions du S&P 500.
Baisse de l'inflation selon l'IPP et hausse des demandes d'allocations chômage
Les actions ont été soutenues aujourd'hui par l'annonce d'un nouveau rapport sur l'inflation plus faible que prévu. Les rendements des bons du Trésor ont chuté alors que le ralentissement de l'inflation mesurée par les prix à la production a renforcé les arguments en faveur d'une réduction des taux d'intérêt par la Réserve fédérale cette année. L'indice PPI a connu sa plus forte baisse en sept mois, ce qui renforce les signes d'atténuation des pressions inflationnistes. Il a baissé de 0,2 % d'un mois sur l'autre, tandis que le taux de base est resté stable sur le mois, tous deux plus faibles que prévu.En outre, les demandes initiales d'allocations de chômage aux États-Unis ont atteint le chiffre record de 242 000 en neuf mois, sous l'effet d'une augmentation significative en Californie. Le bond a été plus important que prévu, fournissant des preuves que le marché du travail pourrait s'affaiblir après que le chiffre principal des emplois non agricoles de vendredi ait suggéré le contraire.
Prévisions du S&P : Les actions continuent de progresser malgré les inquiétudes macroéconomiques
La baisse des données de l'IPP aujourd'hui apporte un soulagement bienvenu, mais la lutte contre l'inflation se poursuit. À 3,4 %, l'inflation de l'IPC reste bien supérieure à l'objectif de la Fed, se maintenant au-dessus de 3 % pour le 38e mois consécutif, l'IPC supercœur (qui comprend l'inflation des services de base moins le logement) ayant augmenté de 5 % en glissement annuel en mai, son niveau le plus élevé depuis avril de l'année dernière. Le coût de la vie est donc extrêmement élevé, surtout si l'on considère que le prix médian des maisons aux États-Unis reste à un niveau record de 434 000 dollars et que la croissance du PIB a ralenti à 1,3 % au premier trimestre. En outre, aucun plan n'a été mis en place pour s'attaquer à la dette nationale de près de 35 billions de dollars et aux déficits croissants.
La Fed annonce une nouvelle baisse des taux d'intérêt, mais les marchés en redemandent
La Réserve fédérale a réduit ses prévisions de réduction des taux d'intérêt cette année, bien que le président Jerome Powell ait laissé la porte ouverte à d'autres réductions, soulignant que les nouvelles prévisions étaient conservatrices. Les projections économiques actualisées des décideurs indiquent désormais qu'ils ne prévoient d'abaisser les coûts d'emprunt qu'une seule fois en 2024, contre trois réductions précédemment prévues, selon leur estimation médiane. Malgré les données positives sur les prix à la consommation publiées hier, ils ont également revu à la hausse leurs prévisions d'inflation. Cette attitude prudente n'a toutefois pas dissuadé les opérateurs obligataires, qui ont continué à parier sur des baisses de taux.
Prévisions du S&P : analyse technique
Malgré le retard du Dow Jones, les prévisions du S&P restent positives, car il continue de défier la gravité. Une confirmation est nécessaire avant de pouvoir négocier l'indice à découvert, compte tenu de la solidité de la tendance haussière de cette année. Par exemple, l'indice devra casser un plus bas récent et se maintenir en dessous, comme le niveau de 5191. Avant cela, plusieurs niveaux de soutien pourraient se maintenir, notamment les niveaux 5376, 5326 et 5277, qui ont tous été des niveaux de soutien ou de résistance dans le passé. Le niveau 5326 est également proche de la moyenne mobile exponentielle de 21 jours, ce qui en fait un niveau clé.
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Source : TradingView.com
Cela fait bien plus de 300 jours de bourse que le S&P 500 n'a pas connu de baisse de 2 %, ce qui indique une forte absence de sentiment baissier. Tant que cette série n'est pas interrompue et qu'un plus bas ne signale pas un retournement baissier potentiel, ceux qui anticipent un repli devront rester patients, même si le marché semble surévalué. La tendance haussière doit montrer des signes d'affaiblissement avant qu'un renversement puisse se produire, et cela prend du temps. Cette année a été marquée par l'une des plus longues hausses jamais observées, le S&P 500 ayant atteint 27 nouveaux sommets historiques. Compte tenu de l'engouement pour les valeurs liées à l'intelligence artificielle et à la technologie, il est probable que de nouveaux sommets soient atteints.
Certains affirment que la vigueur du marché est renforcée par l'importance du déficit budgétaire, qui devra être comblé un jour ou l'autre. Toutefois, en tant que traders, nous devons respecter la dynamique du marché et éviter de prendre des décisions prématurées sans analyse approfondie, même si l'on ne s'attend plus à ce que la Fed réduise ses taux à trois reprises cette année.
Tesla et Broadcom donnent un coup de pouce supplémentaire
Quelques entreprises technologiques ont vu leurs actions grimper à l'ouverture, notamment Tesla après qu'Elon Musk a annoncé que les actionnaires avaient voté à une écrasante majorité pour réapprouver son plan de rémunération et déplacer l'État d'incorporation de l'entreprise au Texas. Une autre entreprise technologique, Broadcom, qui est un fournisseur de puces pour Apple, a publié des résultats qui ont dépassé les estimations, grâce à la forte demande de produits d'intelligence artificielle.